Déclaration
Résumé
« Ce monde turbulent a besoin d’une ONU qui soit un régulateur mondial », déclare le Premier Ministre Correia e Silva.
Le Premier Ministre de Cabo Verde a souligné qu’aucun pays aujourd’hui n’était à l’abri de l’expansion du populisme, de l’extrémisme et de « l’idéologie de la post-vérité ».
S’agissant des changements climatiques, M. José Ulisses Correia e Silva a réclamé des engagements clairs à la prochaine COP de Belém, en particulier de la part des plus grands émetteurs, pour limiter l’augmentation de la température à 1,5ºdegré Celsius. « Il ne s’agit pas d’une simple revendication, mais d’une question de survie pour tous, tous, et tous », a-t-il martelé
Il s’est en outre félicité de l’entrée en vigueur de l’accord « historique » sur les subventions à la pêche, un outil décisif dans la lutte contre « des pratiques qui menacent la biodiversité marine et la sécurité alimentaire de millions de personnes ».
Quant à l’Engagement de Séville sur l’endettement des pays en développement, il est une occasion de « stimuler le développement dans les pays les plus vulnérables tels que les PIED » qui ont besoin de « rendre opérationnels » des mécanismes tels que la conversion de la dette en financement climatique ou le Fonds pour les pertes et les préjudices.
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Vous pouvez également lire l'article publié en portugais par ONU Info sur la déclaration faite par le Premier Ministre de Cabo Verde lors du débat général.
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Sessions antérieures
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