Déclaration
Résumé
Mme MARY ELIZABETH FLORES (Honduras) a fait remarquer que chaque pays réagissait à la tribune de l’Assemblée générale « en fonction de sa propre réalité ». Ainsi, les valeurs humaines ne sont-elles pas interprétées de la même façon par la victime qui doit malheureusement quitter sa patrie à la recherche d’un monde meilleur, pour fuir la pauvreté extrême ou la violence, et par celui qui vit dans la sécurité et le confort. Or, a dit Mme Flores, tant qu’il n’y aura pas la paix et le bien-être pour tous, il n’y aura de tranquillité pour personne. « Aucun mur de pierre ne peut contenir les flux humains créés par le droit à la vie », a-t-elle dit.
Les migrations massives, a insisté la représentante, sont la conséquence de problèmes graves qu’il faut régler, non pas avec des promesses, mais avec des résultats. La réponse réside à la fois dans « les principes divins de la spiritualité » et dans les principes de la Charte des Nations Unies, a-t-elle résumé en plaidant pour « la solidarité universelle ».
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