Déclaration
Résumé
M. Bart de Wever, Premier Ministre de la Belgique, plaide pour un monde ancré dans le respect mutuel : « Nous devons créer une prospérité partagée à l’échelle mondiale, conscients que la prospérité engendre la paix et que la prospérité renforce la confiance. »
La civilisation, c’est s’efforcer de surpasser nos instincts fondamentaux, a affirmé M. Bart de Wever, Premier Ministre de la Belgique, qui a rappelé que les Nations Unies sont nées de la guerre la plus destructrice de l’histoire de l’humanité pour incarner précisément cette aspiration. Pourtant, aujourd’hui, les organisations internationales, le droit international et le respect de la souveraineté sont « sous pression », la géopolitique se résumant souvent à « de simples égocentrismes », a-t-il observé.
Fort de ce constat, il a plaidé en faveur d’un monde « ancré dans le respect mutuel ». Un monde de commerce libre et équitable, de partenariats solides, de respect et de coopération, un monde fondé sur le droit international et qui lutte contre les changements climatiques. « Un monde de paix, enfin, de prospérité et de progrès ».
Pour M. de Wever, les Nations Unies demeurent essentielles à la poursuite de cette ambition. C’est pourquoi, a-t-il dit, la Belgique appuie le programme de réformes ONU80. Il a en outre insisté sur le fait que la sécurité des citoyens doit rester la première priorité des dirigeants politiques, lesquels, sur le plan économique, gagneront toujours à rester fidèles aux principes encadrant un commerce libre et équitable, « seul véritable moteur du progrès ».
En bref, a-t-il souligné, « nous devons créer une prospérité partagée à l’échelle mondiale, conscients que la prospérité engendre la paix et que la prospérité renforce la confiance ».
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