Déclaration
Résumé
C’est « le plus vulnérable des pays les plus vulnérables aux effets des changements climatiques », avertit le Premier Ministre Teo.
Les Tuvalu sont attachés à la continuité de leur statut d'État, la permanence de leurs frontières maritimes et leur droit aux ressources qui s'y trouvent, a déclaré M. Feleti Teo, Premier Ministre des Tuvalu. « Quoi qu'il arrive au territoire terrestre en raison des changements climatiques. »
Le Premier Ministre a salué l’avis consultatif rendu en juillet dernier par la Cour internationale de Justice (CIJ), selon lequel les États doivent « agir avec la diligence requise » pour empêcher que leurs activités « ne causent des dommages significatifs au système climatique ».
D’après lui, la lutte pour un réchauffement limité à 1,5 degré Celsius ne peut pas être gagnée qu’avec des réductions de dioxyde de carbone. « Pour gagner du temps » et protéger le monde des points de bascule « irréversibles », il faut aussi s’attaquer au méthane et à d'autres gaz à courte durée de vie.
La Conférence qui s’est tenue à Nice en juin dernier, a ajouté M. Teo, a rappelé que le sort de nos océans doit faire l’objet d’engagements par le biais de partenariats renforcés et d'un financement prévisible permettant aux communautés qui sont en première ligne de « conserver et d'utiliser durablement l'océan selon leurs propres conditions ».
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